F. Soubies, portrait 3/4 gauche, titre "Assemblées Nationale, galerie des représentants du peuple (législative, 1849) (Hautes-Pyrénées)." sous-titre "F.Soubies, né à Bagnères de Bigorre, le 21 mai 1803, avocat, ancien préfet.", signature "Soubies", graveur E. Desmaisons, s.d.
Abbé Roziés, portrait 3/4 gauche, titre "L'abbé Roziés, Tarbes (Hautes-Pyrénées).", inscription recto "Signes Arithmétiques à l'usage des Sourds Muets" de 1 à 10, dessinateur J. Philippe, graveur Légé, s.d.
Abbé Crimes, portrait 3/4 gauche, titre "L'abbé Crimes, Station de St. Jean de Tarbes, 1842.", dessinateur Perrin, graveur Delor, dim.26x18,6cm, s.d.
Arnaud Fourcade, portrait 3/4 gauche, titre "Fourcade (Arnaud), Vicaire Général de Tarbes, né à Ibos le 24 août 1799, décédé à Tarbes le 10 mars 1859." inscription recto "Se vend au profit d'une bonne oeuvre", graveur J.C., imprimeur Larrieu Tarbes, s.d.
A.X. de Neirac, portrait 3/4 gauche, titre "A.X. De Neirac, Evêque de Tarbes mort le 28 janvier 1833.", papier collé sur papier canson, s.d. 2Fi106
Hyppolite Larrey en uniforme, portrait 3/4 gauche, titre "H. Larrey", signature "H. Larrey", dessinateur Belliard, s.d.
Dominique Larrey en uniforme, portrait 3/4 droit, titre "Larrey", inscription au recto "Portrait sur acier de 1836", dessinateur Pollet, s.d.
Dominique Larrey, portrait 3/4 gauche, titre "Larrey", signature "Larrey", inscriptions au recto "Trés ressemblant" et "Htes-Pyrénées", graveur Delpech, s.d. 2Fi109
Jean Auguste d'Angos, portrait 3/4 droit, titre "J.A. d'Angos, Ancien Capitaine Chevalier de Malte et de l'Ordre Royal et Militaire de St- Louis, Membre correspondant de l'Institut de l'Académie des Sciences et belles lettres de Rouen et de plusieurs autres sociétés savantes, mort à Tarbes sa patrie, en 1833 âgé de 87 ans, dim.36x26cm, s.d.
Théophile Gautier, portrait en buste de face, titre "L'Artiste, Théophile Gautier", inscriptions au recto "Rare", "1845" et "Tarbes Hautes-Pyrénées", inscription au verso "Tarbes né en 1811-1872", dessinateur Chasseriau, sculpteur A. Bodin, papier dim. 26 x 21 cm collé sur papier canson, s.d.
Diplôme de médaille de vermeil, groupe 1, décerné à l'école municipale de dessin de la ville de Tarbes lors de l'exposition départementale du Travail, département des Hautes-Pyrénées, du 2 au 15 octobre 1927.
Fontaine publique à Gerde (copie).
L'Eglise de Gerde n'a ni l'ancienneté ni l'opulence de celles de Campan ou Baudéan. Vers 1889, la municipalité voudra offrir à sa population un clocher à son église. Supplique à Napoléon.
Gerde, jusqu'au milieu du XXème siècle, n'est pas éclaté comme maintenant en un village. Tout ce qui était labourable devait être labouré et le village s'est donc tassé. A noter : comme la proue d'un navire la façade se glisse entre une ruelle d'un côté.
Belle demeure qui jouxte l'église, bâtie il y a deux siècles par Jean-Pierre Daupholle, avocat et ardent révolutionnaire. Maison située entre l'église et la mairie de l'époque. Demeure vaste, de facture classique.
admirable équilibre entre l'inspiration bigourdane et les canons dominants de l'époque. Superbe balcon-galerie inspiré des "balets" que l'on trouve dans la plupart des maisons paysannes traditionnelles du Haut-Adour.
Construit par des élèves des classes-ateliers de Bagnères de Bigorre sous la direction d'un instituteur-bâtisseur. Il mène, à l'issue d'une belle promenade, dans la vallon caché derrière le village d'Asté.
Au coeur du village se situe l'église Saint-Saturnin qui offre, comme celle de Baudéan ou de Campan, un surprenant contraste entre l'intérieur et l'extérieur. Grandes, sombres, austères avec leurs grands clochers carrés à contreforts, leurs tourelles d'escaliers à vis, leurs flèches polygonales juste agrémentées des quatre clochetons d'angle. (un seul sur cette image).
pompe manuelle en fonte, fruit de la révolution industrielle, triomphe de la civilisation du métal maintenant produit en masse et à bas prix. Abreuvoir ancien, taillé dans la pierre.
Edification du beau lavoir : 1899. Derrière la mur faisant face à ce sommaire lavoir de schiste, un petit édifice en pierre.
Eglise Saint-Martin de Baudéan la plus remarquable de la vallée car juchée sur un promontoire. Elle paraît partager avec le château, en face, la veille du troupeau de maisons rassemblé à leurs pieds.
Le château de Baudéan, maintes fois remanié au cours des siècles, se dresse encore fièrement au-dessus du village ; entre les deux se trouve la prison où "pourra être enfermer de son autorité (du maître), sans formalité de justice, ses vassaux surpris en flagrant délit".
La fontaine abreuve la rue principale de Baudéan. Elle démontre une certaine aisance, le goût de transformer un simple point d'eau en petit monument en pierre de taille, de dimension et de formes au-delà du strict utilitaire.
L'eau est partout présente dans les villages à Baudéan comme ailleurs. exemple type.
Porche et "balet". Balcon galerie qui offre la particularité d'être frais en été quand le soleil est très haut mais chauffé en hiver par un soleil beaucoup plus bas dans le ciel.
La halle au beurre agrémentée de la belle fontaine-abreuvoir fort prisée les jours de marché.
rebâtie en 1694 après un gigantesque incendie. Point de ralliement du village. L'aspect massif et la tour d'angle rappellent encore le temps des fortifications.
Emouvant monument aux morts, dressé après la guerre de 14-18 entre l'église et le cloître de Campan.
Maison cossue, dite "cazalière". On y accède par une entrée sous porche ou encadrée de fiers pilastres plus ou moins ornés. Double balcon-galerie qui symbolise la fierté d'une famille paysanne qui avait "réussi".
facile à identifier, la ferme traditionnelle campanoise : toute en longueur avec sa grange en prolongement du logis et son "balet" typique, sorte de balcon-galerie intégré sous le toit.