Pétition des habitants du Canton Nord souhaitant que les concours d'animaux soient tenus alternativement dans les deux cantons et que la place du Pradeau soit choisie à cet effet.
Modifications des alignements du côté occidental de la rue DAURIAC : question de la de l'immeuble de M. Mouysset (vente Dauriac à Mercadier en 1888) avenue Hoche
Rapport de M. Gibrac, membre de la commission de l'instruction publique :
_ création d'une 2ème année au cours complémentaire de l'école Victor-Hugo ;
_ création d'une école d'apprentissage pour les jeunes filles ;
_ amélioration des crèches municipales ;
_ boursiers de la ville et attribution de 4 bourses au lycée ;
_ augmentation du nombre de bourses au collège de jeunes filles ;
_ vacance, à l'école Théophile Gautier, d'un emploi de maîtresse de musique suite au décès de Mlle Cuyaubère.
Ecole d'apprentissage pour jeunes filles : le cours de couture, broderie et repassage de l'école Théophile-Gautier est insuffisant. D'où nécessité de créer un établissement laïque répondant aux besoins d'une population essentiellement ouvrière.
Crèches de la rue Pasteur et de la rue des Petits-Fossés : locaux exigus, manque de soleil et de vitalité du personnel.
Création d'une école de filles à 2 classes dans la partie Ouest de la ville et création d'un 4ème emploi d'adjoint à l'école de garçons de la rue des CARMES
séance privée : création d'une Ecole nationale de Commerce et d'Industrie pour garçons au Grand Séminaire.
L'Ecole pratique de Commerce et d'Industrie pour garçons a été créée à Tarbes en octobre 1907 dans un immeuble appartenant aux Pères de Garaison (emprunt de 150 000 F en janvier 1908).
Bilan :
_ mauvais choix du lieu car quartier paisible troublé par bruit
_ mauvais choix bâtiment car locaux trop exigus
_ mauvais choix financier car achat et entretien très côuteux
Dès août 1908, projet de transfert de l'école au Grand Séminaire avec intention de créer une école nationale professionnelle de commerce et d'industrie (projet rejeté en novembre 1908) ; en 1911, projet à nouveau en vigueur de transformer l'école pratique en école nationale. Le maire Boué, avec l'appui de Jean Dupuy alors ministre des Travaux Publics et sénateur, relance le projet.
Protection du passage à niveau 178, installation d'un appareil avertisseur automatique par la Compagnie de Chemins de Fer du Midi - Réponse au voeu de Mr PEHAUT
Caveaux provisoires des cimetières SAINT-JEAN et de la SEDE - Vote de 550 F
Débat sur l'attribution de concessions gratuites aux conseillers municipaux décédés en exercice. Cas de la veuve BRUNET.