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GG

Cultes, instruction publique, assistance publique

Dates extrêmes : 1595 - 1792 Dernier ajout : 21/11/1996
Mode d'entrée :
Métrage : 2,07 Ml Nombre d'articles : 101
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Notes
    Le métrage est calculé sur le total puisque les documents sont dépouillés pièce à pièce
    Il existe un manuscrit coté Ms 81 Bureau de l'Officialité 1674-1760 ( Dispenses pour mariages consanguins et procédures) à la médiathèque Louis Aragon du Grand Tarbes
Sommaire
    u XVII et XVIIIe siècles, Tarbes est le siège de l'Officialité et de l'Evêché. L'Evêque gouverne son diocèse avec l'aide du chapitre de la cathédrale et participe à l'administration des Etats de Bigorre dont il devient président-né. Il y a deux paroisses Saint-Jean et la Sède, quatre couvents : les Carmes et les Cordeliers qui s'installent au Moyen-Age, les Capucins et les Ursulines qui s'établissent au moment de la Contre-réforme.
    Les registres paroissiaux ne présentent pas de lacunes importantes, ils remontent au début du XVIIe siècle et sont dans un bon état de conservation. Le dernier procès-verbal des registres d'ordonnances de police (1788-1791), concerne la prise en charge des registres paroissiaux de la Sède par les officiers municipaux. A la lecture de ce document, la collection actuelle n'est pas complète, il manque le registre de 1590-1610.
    A Tarbes, la scolarisation des enfants est mal connue. Les sources sont rares et concernent plutôt des pièces isolées qui ne permettent en aucun cas de s'avancer avec certitude sur le système éducatif des jeunes enfants. Le collège qui a été fondé en 1562 a reçu un accord officiel d'enseignement avec les Doctrinaires en 1670. Ces archives sont aux Archives départementales. Plus sporadiquement et hors de la série GG, les pièces justificatives de comptes attestent de relations entre la ville et le système d'enseignement : par exemple les quittances des gages des régents, les comptes concernant les réparations au collège, etc... Dans l'enceinte du Maubourguet, le Terrier du début du XVIe siècle recense "La mayso de la villa pertenir l'escola".
    Le système médical est succint, l'hôpital en plus de sa fonction d'enfermement demeure l'élément essentiel de l'équipement sanitaire. La création du premier hôpital Saint-Jacques n'est pas connue, par contre Saint-Blaise s'élève en 1580, ils sont unifiés en 1618 : Saint-Jacques disparaît et Saint-Blaise connaît la pénurie totale. "L'hôpital des Pauvres Enfermés" dans le cadre de la politique carcérale du XVIIe siècle est fondé en 1692.
    Tarbes n'échappe pas aux quelques courants épidémiques, lors de la peste de 1654, la ville perd en plusieurs mois quelques centaines d'habitants. Financièrement, c'est l'indigence, les créanciers producteurs de "médecines" doivent souvent attendre une dizaine d'années avant que les consuls ne règlent leurs dettes.
    ® Registres paroissiauxGG1 - GG411611-1792
    ® Extraits d'actes de baptêmes, de mariages
    (contrats) et de sépultures de la ville de
    Tarbes et autres communesGG42 - GG631721-1792
    ® CulteGG64 - GG711763-1790
    ® PopulationGG721774
    ® EnseignementGG73 - GG881595-1790
    ® Santé et salubritéGG89 - GG1011703-1780
    2,07 ml