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Agriculture, industrie, commerce
Dates extrêmes :
1614 - 1796
Dernier ajout :
29/01/1997
Mode d'entrée :
Métrage :
0,38 Ml
Nombre d'articles :
29
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Sommaire
En matière économique les documents anciens font défaut. Seul le XVIIIe siècle est représenté. En attendant le "décollage" du siècle des lumières, Tarbes présente la permanence d'une économie de consommation avec la faiblesse des activités artisanales, la primauté d'activités agricoles et d'échanges.
Au XVIe siècle, Tarbes connaît la prospérité commerciale, capitale de la Bigorre elle assure les échanges entre la ville et la campagne. Le marché est si florissant qu’en 1696 il faut transférer ceux des mercredi et samedi, de la place Saint-Jean à la place Maubourguet ; par contre le grand marché du jeudi se tient toujours au Marcadieu. Cette situation se trouve consolidée au XVIIIe par une démographie en plein développement et par l’aménagement de routes convergeant vers la ville : en témoignage, le soin avec lequel les consuls et plus tard les officiers municipaux ont conservé les registres de mercuriales et de fourleaux. Nos archives gardent en continu deux cent vingt ans de la longue série des prix du grain sur le marché. A Tarbes de 1614 à l’abolition de la “Loi du Maximum” en 1794, seuls figurent les prix des céréales. Le 8 janvier 1795, apparaît le haricot et à partir du 22 février, les officiers municipaux citent, en plus des grains, un grand nombre d’autres denrées et consommables. Ces registres sont dénommés fourleaux ou mercuriales. Ils semblent ici être employés sans distinction. Le premier fourleau apparaît au début du XVIIIe siècle et ne marque pas de différence visible avec ses prédécesseurs appelés mercuriales. En matière de lexicologie, il faut faire confiance à Mistral qui, dans son Trésor du Félibrige cite le provençal fourlèu du latin forum legale : prix légal des denrées, taxe officielle, mercuriale, registre des mercuriales.
Toujours en matière d’agriculture, l’arrêt du Conseil d’Etat du 25 novembre 1719 perpétue la tradition équestre de la ville en établissant les Haras de Bigorre. Générateurs d’impôts, ils étaient fort peu appréciés par la population qui n’en retirait aucun bénéfice. D’ailleurs, en 1790 la Convention fait fermer le dépôt d’étalons de Tarbes.
En 1787, la ville est dotée d’un bureau de poste et d’un facteur.
® Mercuriales, fourleaux, taxes
et approvisionnementHH1 à HH211614-1788
® AgricultureHH22 à HH241775
® IndustrieHH25 à HH261781-1782
® PosteHH27 à HH291680-1787
0,38 ml
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