vente des fonds communaux à la fontaine de Lalète, adjudication et offre de Jacques Pedespan de communal contigu.
Vente de terrain communal à Bernard Domec rue de Pau le long de Dlle Cazaux.
continuation de la rigole rue Guichard et haussement du terrain pour l'écoulement des eaux pluviales qui aboutissent devant la maison de M. Pérès procureur
Contestation entre la ville et les pères Doctrinaires sur la propriété du terrain le long des murs et remparts du jardin de His appartenant au Séminaire, en vue d'ouvrir une rue vers les petits fossés au quartier de la Pourtète [Portète].
Adjudication aux enchères d'un terrain inculte à Domec Bernard longeant la possession de la demoiselle Cazaux le long de la route de Pau et celui au nord de la possession de la dite demoiselle.
placement d'une écluse sur le fossé derrière la tannerie de la veuve Carret où se jettent les eaux du canal du moulin des religieuses. Un domestique de M. Luscan voisin sera chargé d'en garder la clef en cas d'incendie.
union d'une des quartre premières prébendes vacantes avec le Cure Saint Jean et nomination de deux vicaires et nomination de trois sujets parmi les enfants de la ville.
M. Dassieu est autorisé à bâtir sur son terrain acquis des Pères Cordeliers en alignement avec à l'arrête du pilier de l'église des Cordeliers, à condition d'établir une façade sur la rue des Cordeliers et une façade sur la place Maubourguet qui décoreront rue et place.
nomination de M. Dassieu, médecin, comme commissaire à la place de Betbeze pour recevoir et clôturer les comptes de Gertoux receveur collecteur ancien.
Après accord avec les pères Doctrinaires Boscat et Bouet, opposition du syndic du Séminaire relative à l'ouverture d'une rue sur l'ancien glacis et fossés situé le long du mur de ville et qui le séparait du jardin dépendant de la maison dite de His aujourd'hui possédée par le Séminaire ; le terrain communal nécessaire à la rue projetée a été usurpé par les propriétaires successifs.
Le syndic de la ville est chargé de demander l'ancien glacis et fossés au bureau des Finances d'Auch pour l'affièvement du terrain.
En outre, le maire et les consuls reprochent l'empiètement du Séminaire sur les allées du Pradeau, sur la rue venant du pont des Capucins et la rue venant du pont des religieuses, ses irrégularités monstrueuses, et l'avancement au coin de la maison de M. Guichard qui rend le tournant pour les voitures et équipages très dangereux et qui cache l'entrée du Séminaire.
Enfin, ce bâtiment intercepte la perspective vers les Pyrénées et empêche l'air des montagnes de rafraîchir cette partie de la ville les nuits d'été.
Le conseil municipal s'oppose donc à l'établissement dans l'aile du midi d'une église et demande la démolition d'une partie des bâtiments.
acquis des impositions de l'année dernière à M. Salaignac pour 1770 et 1771 pour des travaux faits aux petits fossés avec tout le zèle d'un bon citoyen.